Troisième épisode
Mais je veux te rendre fou... Je veux que tu me supplies de te faire jouir...
Je me recule encore... Je pose un pied chaque côté de ton fauteuil, ouvrant par la même occasion les cuisses... Tu regardes ce que je fais, à la fois intéressé par ce que je te donne à voir et frustré que je ne te fasse pas jouir sur ma peau...
J'écarte la dentelle sans délicatesse et fourre les doigts dans mon sexe mouillé... Mon autre main joue avec mes tétons érigés, les triturant comme je sais que tu brûles de le faire... Mon bassin ondule silencieusement... Je me branle, sous ton regard incrédule... Tu n'arrives pas à y croire... Quel culot! Non seulement je te prive de ton plaisir, mais je t'impose le spectacle du mien... Quelle garce!
Je suce mes doigts et les replonge dans ma chatte, jouissant à la fois du plaisir que cette caresse me procure et de la satisfaction de te savoir complètement à ma merci... Tu me veux, tu m'en veux et tu me feras payer cet affront... J'y compte bien...
Mes doigts agiles ont tôt fait de me mener au bord de la jouissance... J'attends que tu me regardes, et je ne retiens plus mon plaisir... Je jouis, silencieusement, le corps agité de tremblements et de soubresauts, les joues rouges, le souffle court...
Je te tends ma main parfumée de mon miel... Tu fais tomber ton stylo, le temps de venir lécher furtivement les fruits de mon plaisir sur mes doigts... Je vois, dans tes yeux qui me dévorent, une lueur de folie animale qui me laisse présager qu'aussitôt la conférence téléphonique terminée, tu te débarrasseras du collègue pour enfin glisser ta queue dans ma bouche et baiser ma gorge... Tu te redresses et j'enroule ces doigts encore humides sur ta verge, que je branle doucement, en veillant à ce que tu te sentes au bord de l'explosion mais sans jamais te laisser y accéder...
Je me recule encore... Je pose un pied chaque côté de ton fauteuil, ouvrant par la même occasion les cuisses... Tu regardes ce que je fais, à la fois intéressé par ce que je te donne à voir et frustré que je ne te fasse pas jouir sur ma peau...
J'écarte la dentelle sans délicatesse et fourre les doigts dans mon sexe mouillé... Mon autre main joue avec mes tétons érigés, les triturant comme je sais que tu brûles de le faire... Mon bassin ondule silencieusement... Je me branle, sous ton regard incrédule... Tu n'arrives pas à y croire... Quel culot! Non seulement je te prive de ton plaisir, mais je t'impose le spectacle du mien... Quelle garce!
Je suce mes doigts et les replonge dans ma chatte, jouissant à la fois du plaisir que cette caresse me procure et de la satisfaction de te savoir complètement à ma merci... Tu me veux, tu m'en veux et tu me feras payer cet affront... J'y compte bien...
Mes doigts agiles ont tôt fait de me mener au bord de la jouissance... J'attends que tu me regardes, et je ne retiens plus mon plaisir... Je jouis, silencieusement, le corps agité de tremblements et de soubresauts, les joues rouges, le souffle court...
Je te tends ma main parfumée de mon miel... Tu fais tomber ton stylo, le temps de venir lécher furtivement les fruits de mon plaisir sur mes doigts... Je vois, dans tes yeux qui me dévorent, une lueur de folie animale qui me laisse présager qu'aussitôt la conférence téléphonique terminée, tu te débarrasseras du collègue pour enfin glisser ta queue dans ma bouche et baiser ma gorge... Tu te redresses et j'enroule ces doigts encore humides sur ta verge, que je branle doucement, en veillant à ce que tu te sentes au bord de l'explosion mais sans jamais te laisser y accéder...
L'appel s'éternise. Je sens, dans le ton de ta voix, ton impatience... Tu t'en fiches, de ces chiffres et de toutes ces informations... Ce que tu veux, c'est jouir... Répandre ton sperme sur cette petite garce qui est sous ton bureau et qui commence sérieusement à t'agacer à force de te conduire au bord de l'orgasme sans jamais te laisser l'arroser...
Je m'amuse, sous le bureau, de cette impatience, de ce désir contenu à grand-peine, de tes muscles qui se tendent...
Et si je poussais la provocation un peu plus loin...?
Je me retourne pour te présenter ma croupe... La jupe relevée sur les reins, j'écarte bien lentement le fil qui masquait le sillon de mes fesses et te dévoile mon petit trou... Je glisse une main entre mes cuisses, la mouille de ce miel qui coule toujours de ma fente béante et l'étale avec un plaisir non dissimulé sur cet anneau tendre... Je le caresse du bout d'un doigt... Je l'y enfonce, jusqu'à la première jointure... Mes reins s'embrasent, j'ai envie d'onduler à la rencontre du plaisir...
J'approche mes fesses de ton fauteuil. Tu écartes les cuisses pour me laisser approcher... Je me saisis de ton sexe que j'attire vers moi... Tu comprends rapidement où je veux en venir et tu laisses tes fesses glisser vers l'avant du fauteuil... Je cambre les reins au maximum pour avoir les fesses juste sous la table, puis j'oriente ton sexe pour que le gland vienne appuyer sur mon petit oeillet insolent...
Mon bassin ondule, te faisant comprendre à quel point je voudrais que tu t'enfonces d'un coup, m'ouvrant, me pourfendant de ta queue dure...
Tu me forces à lâcher ton sexe contre lequel je me frottais comme une petite chatte en chaleur... Déçue, j'ai envie de gémir de mécontentement, mais me souviens au dernier moment que nous ne sommes pas seuls... De toute façon, tu m'aurais fait taire, puisque je sens rapidement, là où tu avais la queue quelques secondes auparavant, ton pouce... Pouce que tu mouilles dans ma chatte, puis que tu fais pénétrer lentement...
Sous ton bureau, pendant ta conférence téléphonique, ton collègue tout près, tu laisses ton pouce ouvrir mes fesses... Tu n'imagines même pas à quel point l'indécence de cette situation me plaît...