Écho
07:18Il y a d'abord eu votre parfum qui a chatouillé ma narine. À peine une fraction de seconde plus tard, il y a eu votre poitrine dans mon dos, puis vos mains sur mes hanches. Qui sont rapidement remontées sur ma poitrine. C'est là que vous m'avez attirée contre vous. Brusquement. En laissant échapper ce soupir de désir qui m'a ouvert comme une fleur... Vous n'avez rien dit, mais j'ai entendu... "Je veux te baiser..." En écho, en réponse à votre envie, mon désir s'est animé.
Vous avez guidé ma main jusqu'à votre sexe. La fermeté de votre désir pour moi m'a émue. Je l'ai senti palpiter sous mes doigts, ce désir, cette envie qui vous prenait au ventre... Et j'ai eu envie que vous me preniez, là, tout de suite...
J'ai dû le penser si fort... Comme si vous aviez entendu cette supplication que je vous adressais intérieurement, vous m'avez agenouillée devant vous. Pouviez-vous sentir l'envie qui grondait au fond de moi? Pouviez-vous deviner l'orage qui tonnait dans mon ventre... Ma croupe, ma chatte, mon cul... Comme une invitation.
Un cri étouffé... Votre sexe, planté au fond de moi. Vos doigts, plantés dans ma chair. Envies animales, soupirs qui se muent rapidement en râles. Respiration hachée au rythme imposé par vos reins. Possession sauvage. Ivresse...
Je ne sais plus très bien si ce sont vos assauts, le fait de savoir que vous ne contrôliez plus rien ou l'idée de me savoir vôtre, chienne - tout ça à la fois, probablement - mais l'orgasme qui m'a secouée alors m'a fait perdre le contact avec la réalité.
J'ai senti votre plaisir éclater en jets chauds sur ma peau, que vous avez léchés pour partager avec moi, en un baiser passionné, les fruits de votre jouissance... Vous avez aimé. Et j'ai aimé cela...
Vous avez guidé ma main jusqu'à votre sexe. La fermeté de votre désir pour moi m'a émue. Je l'ai senti palpiter sous mes doigts, ce désir, cette envie qui vous prenait au ventre... Et j'ai eu envie que vous me preniez, là, tout de suite...
J'ai dû le penser si fort... Comme si vous aviez entendu cette supplication que je vous adressais intérieurement, vous m'avez agenouillée devant vous. Pouviez-vous sentir l'envie qui grondait au fond de moi? Pouviez-vous deviner l'orage qui tonnait dans mon ventre... Ma croupe, ma chatte, mon cul... Comme une invitation.
Un cri étouffé... Votre sexe, planté au fond de moi. Vos doigts, plantés dans ma chair. Envies animales, soupirs qui se muent rapidement en râles. Respiration hachée au rythme imposé par vos reins. Possession sauvage. Ivresse...
Je ne sais plus très bien si ce sont vos assauts, le fait de savoir que vous ne contrôliez plus rien ou l'idée de me savoir vôtre, chienne - tout ça à la fois, probablement - mais l'orgasme qui m'a secouée alors m'a fait perdre le contact avec la réalité.
J'ai senti votre plaisir éclater en jets chauds sur ma peau, que vous avez léchés pour partager avec moi, en un baiser passionné, les fruits de votre jouissance... Vous avez aimé. Et j'ai aimé cela...
Photo: Bobcarlosclarkeos
7 commentaire(s)
j'ai aimé, vous avez aimé
RépondreSupprimer:)
Et moi j'aime votre façon dépouillée d'aller à l'essentiel et d'avoir les mots qui donnent à sentir et à ressentir...
RépondreSupprimerTendres ou plus crus, vos mots sont superbes, et la balade ici toujours un plaisir.
RépondreSupprimerLes plaisirs sont multiples et vous savez si bien les dire...
RépondreSupprimerJe viens de lire vos mots chez maitre décadent. c'est léger, ça se lit très bien. Je suis sous le charme de votre plume. Je vais de ce pas lire vos autres textes...
RépondreSupprimerEmma
Ange Solaire, je viens de découvrir votre texte chez maitre décadent....
RépondreSupprimerj'aime beaucoup votre écho à son instantané...
Bonjour
RépondreSupprimerErostisme de bon gout ...j'apprecie vos mots
Gérard