Découverte - Épisode 6

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La voilà prête, la voilà troussée, la voilà exposant sans pudeur ses dessous. Sa culotte satinée, échancrée, semblant autant souligner ce qu’elle cache encore que présenter ce qu’elle laisse voir. Et puis la ceinture fine des portes jarretelles, juste au dessus de la culotte, comme établissant la frontière entre le décent et l’indécent. De laquelle descendent les deux fines lanières de soie qui vont rejoindre les bas, comme les haubans des voiles d’une caravelle. Il ébauche un sourire en constatant que la dame a bien passé les jarretelles sous la culotte, permettant ainsi, le moment venu, à celle-ci d’être baissée sans être entravée. Il sait d’expérience que souvent, les femmes qui portent ce type d’accessoire pour la première fois l’attachent après avoir passé leur culotte comme elles l’ont vu souvent sur des photos de charme, et se trouvent fort dépourvues quand celle-ci doit être baissée, que se soit pour le pipi ou pour la fessée. Il sait déjà qu’il n’en sera rien ici, et que la jolie culotte pourra coulisser comme il se doit, et se retrouver, selon son choix, au dessous des fesses, aux genoux ou aux chevilles. Il se délecte aussi de la découverte de ces morceaux de peau laissés à nue par le retroussage de la belle. Le petit bourrelet entre la jupe relevée et la culotte qui remonte juste au dessus du galbe des hanches. Les deux parcelles des cuisses, entre l’échancrure de la culotte et le haut doublé des bas. Et surtout, surtout, cette ébauche de lune laissée visibles par la forme du sous-vêtement. Il lui semble furtivement qu’il pourrait passer des heures à découvrir ainsi sa peau par fragments. Il meurt d’envie de caresser encore, du bout des doigts, ces parcelles de peau diaphane. Ou de poser ses lèvres sur elles, au creux des reins, ou au pli qui marque le passage des cuisses aux fesses. Ou encore de fourrer son nez dans ce mystère d’entre les cuisses. Mais il comprend que la faire attendre plus longtemps serait malhonnête. Il constate que la peau est devenue plus grenue, presque crispée. Et il interprète cette chair de poule subite comme une marque d’impatience. Alors, comme s’il était vexé de cette protestation muette, sans préavis, sans hésiter, d’un seul coup, la main se lève et s’abat sur le derrière maintenant seulement protégé par cette étoffe fine et soyeuse. Une nouvelle fois le cheval, comme étonné de ce que pourtant il savait inéluctable, se cabre. Il sent le corps de sa consentante victime se tendre comme un arc. Il voit la masse des cheveux agitée d’un vif soubresaut qui fait s’établer la crinière sur les épaules. Et surtout, il sent sur son propre bas-ventre la pression de celui de celle qui vient de réagir à la fulgurance de la douleur retrouvée. Sur son sexe gonflé et contraint sans son slip, ce mouvement soudain est presque douloureux. Il ne lui en fallait pas plus pour que la main retombe encore plus sèchement sur le derrière offert. Mais la belle s’est déjà ressaisie. Pas un cri, pas un grognement n’est sorti de ses lèvres, et c’est un corps redevenu soumis et acceptant qui reçoit les slaves suivantes. Elles se concentrent sur ce triangle de tissus, emballage d’un joyau qu’il sait qu’il découvrira bientôt. Même si elle ne réagit plus aux rafales qui s’abattent sur son cul meurtri, il sait qu’elles sont plus douloureuses que celles reçues précédemment quand les fesses étaient encore protégées par la jupe. Il s’applique à garder un rythme régulier, appréciant en connaisseur la tonalité plus claire des claques sur le postérieur moulé dans son enveloppe de soie. Puis soudain, comme par erreur, une claque s’écrase sur la peau nue, sur le dessous de la fesse. Et immédiatement la fessée reprend par-dessus la culotte, comme pour rassurer la victime sur l’étape de la progression, pour lui faire comprendre que le moment de la déculottée n’est pas encore venu. Puis à nouveau la main s’égare, à droite, sur la peau nue encore, presque à la limite du flanc. Alors commence pour elle l’incertitude. Elle ne peut prévoir où va arriver la prochaine meurtrissure. Une fois sur la culotte, une fois en dehors. Elle ne sait pas vraiment si celles qui claquent sur la peau sont plus douloureuse que celles qui le font sur le tissu, tant la protection ce celui-ci est illusoire. Mais lui pourrait le dire sans erreur, rien qu’à la tonalité de la claque. Peu à peu, les coups ont abandonné l’espace protégé pour se concentrer sur le bas des fesses et le haut des cuisses. Il frappe maintenant de manière presque horizontale, la main glissant sur le haut des bas pour atteindre le derrière par le dessous. Il est parfaitement conscient d’atteindre ainsi une zone plus sensible à la douleur, à la peau plus fine, plus délicate. C’est sa manière de la prévenir qu’il va maintenant lui falloir poursuivre la voyage initiatique, aller vers le moment le plus fort parce que le plus secret, découvrir le secret des secrets. Qu’elle va être bientôt prestement déculottée. Il veut qu’elle s’y prépare, qu’elle sache que le moment curial va venir. Qu’elle comprenne que tout ce qui vient de se passer n’était qu’entrée en matière, que préface, que mise en condition. Et que c’est seulement maintenant que la vraie fessée va commencer, cul nu.

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2 commentaire(s)

  1. L'envie de glisser cette culotte devient de plus en plus pressante...tout comme le désir que procure cette séance...

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  2. Comment faire durer le plaisir dans toute son intensité, chapeau bas !

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