Découverte - Épisode 4
10:30Elle n’a poussé qu’un cri, à la première frappe. Depuis, elle ne desserre plus les dents. Il n’a même plus besoin de la tenir ferme pour l’empêcher de protéger ses arrières avec les mains, elle ne le tente même plus. Après s’être cabrée une première fois, comme un animal surpris par l’attaque, elle est redevenue cette statue inerte, qui subit les assauts sans moufter. Pourtant, il n’y va pas de main morte. Il s’applique, il peaufine, il y met tout son cœur. Fesse droite, fesse gauche, alternativement. L’imposant derrière s’étale devant lui, majestueux, offert, insolent de grâce et d’équilibre. Lui qui a fessé déjà bien des culs depuis qu’il est habité par la passion de ceux-ci et des hommages qu’une dextre sévère peut leur rendre, ne se souvient pas d’avoir fessé un derrière aussi majestueux, aussi sûr de sa puissance et de sa capacité à troubler l’homme. Dès qu’elle s’est allongée, il a pu prendre la mesure du cul somptueux qui lui était présenté sans ambages. Un postérieur qui tend le tissu fin de la jupe. En amateur, il a su la tirer vers le bas, cachant certes ainsi le galbe prometteur des cuisses, mais permettant ainsi à l’étoffe de mieux galber la courbe des fesses. Bien sûr, il a eu la tentation de caresser celles-ci, d’en apprécier le galbe, d’en deviner la texture au travers de leur enveloppe textile, de les sentir réagir à la main, d’en mesurer la réaction, la nervosité, le moelleux. Mais il a là aussi résisté à cet aimant pour sa paume. La caresser, la câliner, aurait été lui mentir, la désemparer, la trahir. Il sait qu’elle est venue pour la fessée. Il la lui a promise. Il la lui a décrite par le menu. Il sait qu’elle en connaît chaque étape, chaque composante, chaque variante. Et pourtant qu’en même temps elle ne sait rien, et qu’il va – qu’il doit – les lui faire découvrir. Alors, posément, il a levé la main, il a esquissé le mouvement par deux fois, s’arrêtant à quelques centimètres de ce globe splendide. Puis, enfin, la main est tombée, brutale, implacable. Le bruit, ce bruit si caractéristique d’une main qui s’abat sur un derrière féminin, a résonné dans la pièce. En une fraction de seconde, il a retrouvé ce plaisir pour lui incommensurable, celui de sentir la réaction d’un cul de femme à une claque inaugurale. La main qui s’écrase sur cette masse encore inerte, innocente. L’ultime fraction de seconde avant qu’elle ne la touche, le derrière était encore tranquille, moelleux. En moins de temps qu’un éclair, la fesse a subi l’outrage, sa main s’est enfoncée dans cette masse charnue qui, instantanément, a réagi. La masse jusqu’alors inerte s’est réveillée. Ce qui était pâte molle se durcit, se crispe, se révolte. Même si elle n’avait pas crié, la réaction de son corps tout entier l’aurait renseigné sur la surprise et sur l’intensité de la douleur qu’il vient de lui administrer. Mais il se soucie comme d’une guigne de son cri et de sa ruade inutile. Son bras gauche la maintient assez fermement pour qu’elle ne risque pas de lui échapper. Mais il a senti au creux de sa paume ce durcissement subit de la fesse, qui, après avoir reçu et presque accueilli la main semble vouloir maintenant la chasser, la repousser. Le cul est devenu pierre, métal, acier. Bloc compact, dur, hostile. Quand la main s’abat sur l’autre fesse, le bruit même lui indique que ce n’est plus le même cul qu’il frappe. Un claquement sec, comme un coup de feu dans un matin d’hiver. Et cette fois, plus un cri, même pas un grognement. Plus une réaction. Il frappe maintenant un cul insensible, buté, bloqué. Alors, bien sûr, il accentue la force des claques. La main se lève moins haut, mais retombe plus vite, plus fort, plus sec. Paf ! Paf ! Fesse droite, fesse gauche. Les premières claques se sont écrasées sur le dôme du derrière, à son sommet. Puis, peu à peu, elles élargissent le cercle visé. Elles couvrent insensiblement l’intégralité de la surface qui lui est offerte. Devant le refus de ce cul à réagir, devant le silence de la dame, devant son apparente insensibilité, il accentue encore la puissance des frappes. Et surtout, il cherche à la déstabiliser en l’étonnant, en l’empêchant de se préparer à la prochaine. Les coups se répartissent maintenant de manière imprévue. A gauche, à droite, puis deux fois sur la même fesse, au centre, à la périphérie. Des claques rapides, en rafale, en cascade. Puis un temps d’espace, comme s’il hésitait, avant de recommencer, plus lentement, plus espacées. Vlan ! Vlan ! Pour qu’elle ait le temps se sentir la douleur s’étaler, prendre se aises, avant qu’une nouvelle claque vienne submerger la première, comme les vagues qui viennent recouvrir l’écume des précédentes avant qu’elle ne disparaisse. Mais ce cul refuse toujours de s’avouer vaincu. La dame veut connaître la fessée tout entière. Elle ne cédera pas. Elle ira au bout. Il le sait, il le sent. Alors, comme pour l’en punir – ou pour l’en féliciter – il se lance dans une sarabande de claques de plus en plus précipitées, de plus en plus sèches, de plus en plus rapides. La chambre est emplie de la cavalcade du bruit des claques en roulement de tambour. Alors, brusquement, la main cesse. Il sait d’expérience que c’est presque plus le silence soudain qui apprendra à la dame qu’il a cessé les frappes. Il sait que maintenant, le derrière va pouvoir souffler, se détendre, redevenir chair tendre, redevenir coussin de douceur. Mais il sait aussi qu’elle sait déjà qu’il ne s’agit que d’un entracte. Il sait qu’elle sait qu’elle va maintenant entrer dans un nouvel espace. Il sait qu’elle sait qu’elle va être troussée. Il lui a longuement parlé de ce moment pour lui central d’une fessée. Il lui a expliqué que si les femmes habituées à la fessée pouvaient parfois être invitées à relever elles mêmes leurs cotillons pour montrer leur derrière à celui qui va les flageller, cela ne pouvait être imposé à une novice. Encore même aurait-elle été prête à le faire qu’il ne lui aurait pas autorisé. « Il faut que ce soit celui qui te fesse qui te trousse, cela fait partie de l’initiation ». Il lui a aussi longuement expliqué pourquoi ce verbe était, à ses yeux, incontournable. « Il ne s’agit pas seulement de relever la jupe. De la remonter, de dévoiler les fesses. Il faut que tu sois troussée. Comme une fille, comme une servante de ferme pouvait l’être. Il ne faut pas qu’il te soit demandé, ni imposé de montrer tes fesses. Il faut que ce soit celui qui te fesse qui te trousse. Alors seulement, tu aura été fessée comme il faut ». Il sait aussi qu’elle a déjà compris que le moment est arrivé. Que cette femme respectable et respectée, cette femme adulte, cette femme libre, évoluée, moderne, va maintenant être troussée.
3 commentaire(s)
Quel art, quelle narration ! J'en suis encore haletante !
RépondreSupprimerCette novice et ce maitre fesseur me précipite dans l'émotion érotique !
RépondreSupprimerOn a terriblement envie d'être qq temps celui qui distribue la féssée magistrale, mais aussi celui qui guide !
J'aime enormément !
La tension monte, les sensations se font plus puissantes, le coeur s'accélère au rythme des claquements de la main...Le plaisir est partagé, je vous assure...
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