Vue sur la ville (deuxième partie)
22:00Elle sentit la chaleur de son souffle descendre sur son omoplate et suivre le tracé de son échine. Elle cambra les reins. Elle se savait délicieusement indécente, offrant sa croupe encore légèrement vêtue à son regard gourmand. Et elle jouissait de son impudeur...
Il la voulait offerte et indécente. Elle le savait.
Lentement, presque imperceptiblement, elle sentit ses doigts effleurer la dentelle, tracer le sillon de ses fesses pour s'aventurer entre ses cuisses. Ses doigts jouaient, tantôt d'habiles pressions, tantôt de frôlements légers, sur l'étoffe fine qui les séparait de son intimité avide... La paume de sa main appuyait doucement sur son désir...
Elle ne parvint pas à retenir un soupir de plaisir. Lentement, la main de l'homme qui n'avait qu'effleuré sa peau faisait fondre sa raison... Elle sentit, en cet instant précis, qu'elle était entièrement soumise aux caprices et à la volonté de celui qui, doucement, lui faisait perdre la tête.
Et cette attente dans laquelle il la plongeait ne faisait qu'attiser son désir. Elle savait qu'il devait se régaler du trouble que ses caresses faisaient naître en elle. Il devait certainement savoir qu'elle mourait d'envie qu'il la touche, qu'il lui retire cette culotte et qu'il découvre à quel point elle avait envie de lui... Il faisait volontairement durer l'attente, pour la soumettre complètement, pour s'assurer qu'elle ne puisse plus penser à autre chose qu'à cette tension au creux de son ventre...
Froissements textiles dans son dos. Elle voulut se retourner, mais d'une main sur sa hanche, il lui intima de demeurer face à la fenêtre. Une bande d'étoffe soyeuse passa autour de son cou, dans une caresse légère, puis remonta sur ses yeux. Il noua délicatement mais fermement ce qu'elle prit pour une cravate, s'assurant ainsi qu'elle ne verrait rien.
S'assurant ainsi que tous ses autres sens seraient en éveil... Exacerbés...
Il la voulait offerte et indécente. Elle le savait.
Lentement, presque imperceptiblement, elle sentit ses doigts effleurer la dentelle, tracer le sillon de ses fesses pour s'aventurer entre ses cuisses. Ses doigts jouaient, tantôt d'habiles pressions, tantôt de frôlements légers, sur l'étoffe fine qui les séparait de son intimité avide... La paume de sa main appuyait doucement sur son désir...
Elle ne parvint pas à retenir un soupir de plaisir. Lentement, la main de l'homme qui n'avait qu'effleuré sa peau faisait fondre sa raison... Elle sentit, en cet instant précis, qu'elle était entièrement soumise aux caprices et à la volonté de celui qui, doucement, lui faisait perdre la tête.
Et cette attente dans laquelle il la plongeait ne faisait qu'attiser son désir. Elle savait qu'il devait se régaler du trouble que ses caresses faisaient naître en elle. Il devait certainement savoir qu'elle mourait d'envie qu'il la touche, qu'il lui retire cette culotte et qu'il découvre à quel point elle avait envie de lui... Il faisait volontairement durer l'attente, pour la soumettre complètement, pour s'assurer qu'elle ne puisse plus penser à autre chose qu'à cette tension au creux de son ventre...
Froissements textiles dans son dos. Elle voulut se retourner, mais d'une main sur sa hanche, il lui intima de demeurer face à la fenêtre. Une bande d'étoffe soyeuse passa autour de son cou, dans une caresse légère, puis remonta sur ses yeux. Il noua délicatement mais fermement ce qu'elle prit pour une cravate, s'assurant ainsi qu'elle ne verrait rien.
S'assurant ainsi que tous ses autres sens seraient en éveil... Exacerbés...
(À suivre)
Crédit photo: Chimère érotique
6 commentaire(s)
À suivre? Vite. Reprenez la suite de cette histoire... je suis impatient.
RépondreSupprimerSages paroles... j'adhère plus que vous ne le pensez.
RépondreSupprimerLa patience est la mère de tous les vices... plus que les vertues.
J'attendrai alors... j'attendrai.
RépondreSupprimerAttendre, attendre et encore attendre... ce que vous nous demandez est bien difficile...
RépondreSupprimerExactement!
RépondreSupprimerEt je vis sur ce dicton depuis si longtemps...
Un jour la chance me sourira!
Hum... Faut être patient avec toi. On a hâte de connaître la suite. Mais je sais que tu es débordée. Bises douces, belle amie. Et à bientôt.
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