J'eus à peine le temps de reprendre mes esprits que tu saisis ma main pour m'entraîner à l'intérieur. Tu pris soin de remettre quelques bûches dans l'âtre et dès que le feu se raviva, une douce chaleur nous enveloppa. Tu pris place dans ce grand fauteuil et tu me regardas. "Déshabille-toi..." m'intimas-tu. Lentement, je remontai mes mains sur mon corps. Subtilement, je saisis...
Étendue sur le côté, mon ventre contre ses fesses endormies, j'ai eu envie de le prendre comme il le fait de moi, parfois, au réveil... Moi, dans son dos, mon bassin qui ondule... ...