T’écrire, parce que je n’arrive pas à bosser, la tête et le corps trop pleins de toi. Parce que d’entendre ta voix, hier, était comme une bouffée d’air après avoir retenu son souffle trop longtemps. Comme rentrer à la maison après un long séjour à l’étranger. Pas parce que chez soi, c’est confortable. Parce que chez soi, c’est là qu’on doit être… T’écrire,...