Phénix
16:07
Tu sais quoi?
J'ai pas envie de parler fleuri. Pas envie d'habiller mon envie de toi joli. J'ai juste envie de ta queue, là, plantée en moi.
Le désir, brut, pur. Ta peau contre la mienne dans ce froissement d'étoffes qu'on n'a pas pu retirer tant le désir était urgent. Dans ce froissement d'étoffes qu'on a écartées, relevées, déchirées.
Tes doigts qui s'enfoncent dans ma chair quand tu t'ancres à mon corps. Dans mon corps.
Ne pas réfléchir. Ressentir. Les yeux fermés, la bouche ouverte.
Et si tes mots suffisent à allumer en moi un formidable brasier, c'est là, quand tu te perds en moi que je me consume.
8 commentaire(s)
Jolie confession....belle allumette!
RépondreSupprimerOh oui, l'alumette est belle, et délicieuse...
SupprimerL'urgence de la fusion des corps,
RépondreSupprimerL'écoute du désir et le besoin de sombrer en l'autre, avec l'autre !
Ed
Fusion des corps, fission du désir. Me perdre avec lui jusqu'à dissolution... Et recommencer, encore et encore...
SupprimerUne étincelle et soudainement l'envie, le feu d'un besoin profond et complet, l'absolu d'une possession ou d'un don total de soi !
RépondreSupprimerSoyeusement
Absolument! Le don de soi ne peut qu'être total... Et il le fut... ;)
SupprimerJ'appelle ça craquer.
RépondreSupprimerEt de jolie façon.
Oui, j'ai craqué... Je craquerais encore, d'ailleurs...
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